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Etude comparative de l'autécologie du chênes pédonculé (Quercus robur) , du chêne sessile (Quercus petraea) et du hêtre (Fagus sylvatica), et de leur croissance à court et long terme, avec relevé de végétation, données stationnelles (topographie, prélèvements de sols), données dendrométriques (hauteur, circonférence et concurrence en cime des arbres), données dendrochronologiques. Elle a prouvé l'effet prépondérant de l'alimentation en eau sur la croissance radiale de ces arbres : la plus grande résistance des chênes pédonculés à l'hydromorphie; mais leur plus grande vulnérabilité par rapport au chêne sessile, vis à vis de l'alimentation en eau. Pour les chênes l'indice de largeur daubier est le paramètre dendrométrique qui rend le mieux compte de la vigueur des arbres. Le chêne pédonculé subit plus dannées à faible accroissement que le sessile. Elle a mis en évidence que, comme en montagne, des arbres avaient vu leur croissance augmenter à long terme, plus pour le sessile que pour le pédonculé, et que cette tendance à long terme ne pouvait être expliquée seulement par les paramètres climatiques ; mais aussi par le taux de gaz carbonique dans lair qui est en augmentation depuis lère industrielle

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Lorrainedendroécologie Fagus sylvatica Quercus petraea Quercus robur croissance radiale tendance à longdendroécologie forestière phytoécologie forestière dendrochronologie dendroclimatologie pédologi