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Couche produite dans le cadre de l'étude MEMORIS (Inventaire et cartographie des zones potentiellement humides et des zones inondables dans le département des Vosges). Cette couche correspond à l'ensemble des territoires présentant les caractéristiques typiques des zones potentiellement humides et réseaux de zones potentiellement humides. Les critères à retenir pour la définition d'une zone potentiellement humide sont relatifs à la morphologie des sols (liée à la présence prolongée d'eau naturelle) et la présence éventuelle de plantes hygrophiles. Ces territoires ont été identifiés et délimités par photo-interprétation des données sources (IGN-BDORTHO, images satellites ASTER) et exogènes (Espaces naturels sensibles, sites Natura 2000, etc). Cette méthode permet d'exclure les relevés de terrain systématiques.

Aucune limite technique d'usage des données renseignée

• Pas de restriction d'accès public selon INSPIRE
• Licence Ouverte / Open Licence Version 2.0 https://www.etalab.gouv.fr/wp-content/uploads/2017/04/ETALAB-Licence-Ouverte-v2.0.pdf
• Utilisation libre sous réserve de citer la DDT88 comme source des données et d'indiquer la date de mise à jour. Faire mention "Etude MEMORIS 2010"
• Aucun des articles de la loi ne peut être invoqué pour justifier d'une restriction d'accès public.

Fonction : Cette couche correspond à l’ensemble des territoires présentant les caractéristiques typiques des zones potentiellement humides et réseaux de zones potentiellement humides. Les critères à retenir pour la définition d’une zone potentiellement humide sont relatifs à la morphologie des sols (liée à la présence prolongée d’eau naturelle) et la présence éventuelle de plantes hygrophiles. Ces territoires ont été identifiés et délimités par photo-interprétation des données sources (©IGN-F/ORTHOPHOTO®, images satellites ASTER) et exogènes (Espaces naturels sensibles, sites Natura 2000, …). Cette méthode permet d’exclure les relevés de terrain systématiques. Limite : Les zones potentiellement humides identifiées doivent être vues comme des surfaces présentant un caractère probable et dominant de « zone humide » compte tenu de l’ensemble des données dont dispose le photo-interprète. La qualité des descriptions des zones potentiellement humides cartographiées est moindre comparée à une description terrain car ici seule la typologie d’occupation du sol est prise en compte. Cela peut engendrer des biais par exemple lors de présence de couverture forestière, qui limite la détection des zones potentiellement humides dites ²cachées² qui se trouvent de ce fait fortement sous-estimées dans ce type d'espaces ou mal interprétées d’un point de vue typologique. Il faut également tenir compte de la marge d’erreur de numérisation lors de la photo-interprétation. Les écarts ont un impact sur les surfaces des polygones, donc sur les statistiques et analyses du territoire. La définition de la nomenclature présente également des limites, effectivement les différentes typologies de zone humide ne représentent pas de façon exhaustive les caractéristiques du territoire et, si certains objets ne présentent aucun doute sur leur classification, d’autres peuvent à l’inverse appartenir à plusieurs ou aucunes classes de la nomenclature sans que cela ne soit pour autant une erreur. Il est donc impossible de certifier par photo-interprétation (sans travaux terrain systématiques avec relevé pédologique à la tarière systématique et relevé floristique) que les zones cartographiées sont à 100% des zones potentiellement humides au sens de la loi sur l’eau. Ainsi cette cartographie ne se veut pas une délimitation réglementaire des zones humides.

EauZonages EauHydrographiedonnées ouvertes